L'association culturelle dans la presse :
************************Merci à Blandine HUTIN- MERCIER d'avoir relayé avec talent le projet "rando astro" de l'association ARTS ET LIENS .
N'hésitez pas (même si vous n'y connaissez pas grand chose en astronomie) à vous joindre à nous.
Loisirs
L’association Arts et Liens veut créer des sentiers astronomiques
· BRIVE-LA-GAILLARDE
· Publié le 25/01/2018
Le chemin des pêcheurs devrait
indiquer la position du soleil. © Photo D.L.
Dans l'esprit de Didier Labille, ce professeur de français revenu à Brive
pour profiter de sa retraite, ça fourmille d'idées. Et c'est à un public le
plus large qu'il espère en faire profiter.
Avec l'association Arts et Liens, qu'il a importée en 2014 de la
région parisienne où il vivait et exerçait, il propose des conférences de
vulgarisation sur des thématiques aussi diverses que les sciences, l'histoire
ou l'astronomie. Samedi dernier, il était question de domotique et la
prochaine, le 3 mars, évoquera les cathédrales médiévales.
L'astronomie… L'un de ses grands centres d'intérêt, qui se retrouve au cœur
de son nouveau projet : la mise en place de parcours planétaires, ou chemins de
randonnée astronomiques. Deux premiers sont en place à Ayen (autour du VVF) et
à Ladornac (en Périgord) ; deux autres sont en projet à Saint-Viance et Brive.
Des « randonnées connectées ou musée à ciel ouvert », explique leur
créateur Didier Labille, ou comment, en plantant des piquets à des distances
astucieusement calculées le long d'un sentier, matérialiser notre système
solaire et la position des planètes par rapport au soleil.
Des astres qui révèlent, grâce à une connexion au
site surleschemins.com, quelques-uns de leurs secrets. Le tout, complété
par des informations plus terre-à-terre, mais accessibles également par
Internet, en poèmes, vidéos, musiques ou peintures, sur le patrimoine des
communes traversées par ces sentiers.
Patrimoine mobile
À Ayen, on découvre ainsi en marchant l'histoire d'Ayen Bas et du Tacot, le
temple et l'église ; à Saint-Viance, on en saura plus sur la Vézère et son
pont, l'église et la châsse, à Brive sur le musée Labenche et la collégiale. Le
tout agrémenté de peintures de Michel Lecomte ou de poèmes de Joëlle Lebret.
« Randonnées connectées ou
musée à ciel ouvert »
« Je cherche à nouer d'autres contacts, avance Didier Labille, pas pour
créer une usine à gaz mais pour partager plus, équiper encore d'autres chemins
de randonnée astro ». Et trouver, aussi, quelques soutiens financiers…
Pratique. Contact : surlechemindesarts.com. Arts
et Liens : lesartsetliens.free.fr ; labilled@free.fr ou 06.27.83.95.69.
Blandine Hutin-Mercier
Accueil
Vous
voulez baliser un sentier proche de chez vous, nous envoyer vos
oeuvres, inciter le grand public à venir visiter vos travaux (ou votre
resto !), n'hésitez pas, contactez-nous : ************************
Merci à Blandine HUTIN-MERCIER d'avoir publié l'article ci-dessous dans
Un article dans BRIVEMAG Juin 2016
************************
Didier Labille souhaite diffuser sa méthode d'apprentissage de la grammaire
« Les, c’est un univers tout entier ».? - Photo gwendoline Teyssedou
Didier
Labille a inventé une méthode d’apprentissage de la grammaire. Il veut
la faire connaître en Corrèze, dont il est originaire, et créer une web
série.
Depuis
qu'il est retraité de l'Éducation nationale, Didier Labille ne quitte
pas l'école. À Ladornac (Dordogne), il intervient sur les temps
périscolaires ; ailleurs, il peut raconter des contes ou présenter une
pièce de théâtre. « Moi, je n'ai plus d'élèves, mais j'ai ma méthode.
Je ne voudrais pas qu'elle se perde… C'est un peu mon cheval de
bataille, que ma méthode devienne corrézienne ».
Sa méthode, ce sont les Grammaticontes et
leur célèbre Mamie Grammaire, un mélange drôle et pédagogique de
grammaire purement française et d'histoires follement amusantes.
Originaire de Saint-Viance, près de Brive, Didier Labille les a
inventés au bout de dix ans de carrière d'enseignant, pour aider ses
élèves à appréhender les règles et pratiques grammaticales. « La
grammaire française est d'une simplicité enfantine, si on la prend par
le bon bout. Il faut la faire vivre ». D'un coup de crayon, d'un bon
mot, il a créé neuf personnages - Adji, Lelales, Chantons Chantez et
compagnie - pour identifier les neuf catégories grammaticales - du nom
commun à l'adjectif, en passant par les pronoms et prépositions.
Contes, pièce de théâtre, jeux cérébraux et jeu d'échecs, et même
vidéos et jeux vidéos, Didier Labille a, en plus de 20 ans, beaucoup
exploité sa méthode. Il veut poursuivre encore, depuis Saint-Viance où
il est désormais installé.
Il
souhaite multiplier ses spectacles et interventions dans les écoles du
pays de Brive ou partager sa méthode avec des enseignants curieux et
motivés. S'il trouve un marionnettiste professionnel, il envisage aussi
de remonter sa pièce Les mots laids, l'une des aventures de sa Mamie Grammaire.
Créer une web sérieSurtout,
il compte lancer sur la plateforme de financement participatif Ulule la
création d'un fascicule en bande dessinée, qui donnerait, au grand
public, les règles élémentaires de la grammaire et des exercices. Il
lui faudrait 6.000 € pour la lancer. « Pour montrer ma méthode. Et si
ça marche, on fait autre chose ». Un album BD et surtout une web série.
« Mais j'ai trop d'expériences avec les enfants pour qu'on me dise que
ça ne marche pas ».
Pratique. Pour contacter Didier Labille : 06.27.83.95.69 ou labilled@free.fr. Mamie Grammaire sur YouTube.
Article publié en juin 2015 par le 400
Pratique. En
savoir plus : lescontesdesamismots.free.fr, naturedesmots.free.fr ou d.labille@free.fr.
Article paru fin janvier 2015 dans LA MONTAGNE
Brive
Les studios de l’Usine
numérique ont abrité
le tournage d’un pilote d’animation
pédagogique
Quentin,
Justin et Julie ont piloté les Grammati-Contes, du story-board à la
post-production.? - Photo Frédéric Lherpiniere
En stage au
400, à Saint-Viance, trois étudiants en audiovisuel ont créé le pilote des
Grammati-Contes, une méthode originale pour apprendre la grammaire.
La grammaire
déclinée en dessin animé
Sur l'écran
d'ordinateur, la sorcière Mamie Grammaire touille une marmite bouillonnant de
vert. Elle éructe de sa voix grinçante, ricane à l'idée de la potion « pour
faire puer les pieds » qu'elle concocte méchamment.
Mais pas
d'inquiétude ! Comme dans tous les contes, l'histoire se termine bien. Lelales,
Adji, Chantonschantez… Une bande de personnages, aussi rigolos que futés, vient
bouleverser les plans de la maudite sorcière… qui se transforme en une gentille
vieille dame.
Cette
histoire, c'est celle des Grammati-Contes ( voir ci-contre), une série
d'historiettes imaginées pour apprendre, avec plaisir, la grammaire aux
enfants. Et la diabolique recette n'est autre que le pilote d'une série de
courtes vidéos réalisé par trois étudiants en BTS audiovisuel à Angoulême à
l'occasion d'un stage au 400.
Feuilleton
Profitant
des locaux et du matériel de L'Usine numérique (notamment son studio de
tournage sur fond vert, d'une qualité presque unique en France), le fablab,
installé dans l'ancienne usine à boutons de Saint-Viance, est chargé de
développer ce projet. Un projet feuilletonnant, à la fois artistique et
éducatif, tels que le 400 souhaite en développer davantage ; Et qui pourrait
trouver sa place sur une chaîne de télé, sur les sites web d'hébergement de
vidéos (Dailymotion ou Youtube) ou les webTV. « Tout dépendra du retour de
l'artiste et des enfants », glisse Quentin, l'un des stagiaires.
En
attendant, il peaufine, avec ses deux acolytes, les décors, réalisés en dessin
animé. « Après que le créateur des Grammati-Contes nous a présenté son projet,
nous avons commencé par réécrire le scénario, racontent les trois étudiants,
pour le rendre plus audiovisuel. Puis nous avons créé le story-board ». Du
tournage à la post-prod, ils ont ainsi exploré tous les aspects de leur futur
métier. « C'est l'une de nos vocations, rappelle-t-on au 400. D'accompagner des
jeunes en formation par une mise en application pratique de leurs compétences
».
Un exercice
que ne renierait aucun des héros des Grammati-Contes…
Blandine Hutin
blandine.hutin@centrefrance.com
La Montagne dans les locaux de l'Usine Numérique
L’Usine
Numérique a eu le plaisir d’accueillir aujourd’hui Blandine Hutin,
journaliste à La Montagne. Cette venue organisée dans le cadre de la
réalisation dans nos locaux du pilote d’un projet pas comme les autres
par trois jeunes stagiaires du 400.
Dans le cadre de leur stage réalisé auprès de l’association Le 400, trois jeunes ont réalisé le pilote d’une série éducative destinée aux enfants. Quentin, Julie et Justin
sont des élèves en BTS audiovisuel à Angoulême et sont présents dans
nos locaux depuis bientôt trois semaines. Au cours de leur stage, ils
ont réalisé plusieurs activités, comme vous avez pu le voir dans notre précédant article sur leurs activités. Depuis deux semaines, ils travaillent sur le beau projet d’un artiste local, Didier Labille.
Cet
artiste, un enseignant de français à la retraite, est le créateur d’une
méthode unique et ludique pour faciliter l’apprentissage de la
grammaire française à l’aide de marionnettes! Les enfants grâce à
leur interaction avec ces marionnettes, les Amis-mots, apprennent ainsi les règles de grammaire avec loisir. Avec les Amis-mots,
les élèves inventent des histoires fabuleuses et ce petit monde
féérique rassure les enfants, les motive et simplifie ainsi leur
apprentissage. Soucieux de soutenir et de valoriser un tel projet, Le 400 s’est rapproché de Didier Labille.
Depuis, l’association a la charge de moderniser les visuels de cette
méthode d’apprentissage à l’aide de moyens techniques qui n’existaient
pas à l’époque de sa création comme la captation de vidéos sur fond
vert. Rapidement, les jeunes stagiaires se mettent au travail et avec les conseils de Loïc Bentata, Pierre Magnol et Sam Malhone, le projet avance de façon époustouflante.
Et c’est avec une grande joie que nous avons accueilli aujourd’hui Blandine Hutin, journaliste à La Montagne Brive venue réaliser un article sur ce projet à part. Curieuse à propos de ce projet mélangeant arts, amusement et pédagogie, Blandine Hutin est venue à la rencontre de Julie, Justin et Quentin. Au cours de trente minutes d’échange, les trois jeune stagiaires du 400 ont pu parler de leurs parcours, de leur venue dans nos locaux et bien sûr de ce magnifique projet.
Aujourd’hui, nous eu avons le plaisir d’attirer l’attention de la presse sur les projets menés par l’Usine Numérique et l’association Le 400. C’est un grand honneur mais juste une étape de plus dans notre volonté d’implanter le numérique en zone rurale.
Article paru dans le magazine de la CASDEN en 2014